CNT Femmes Libres Sainté
http://www.cnt-f.org/cnt42/rubrique52.html
Dans la perspective d’une émission radio, le groupe CNT Femmes Libres 42 lance un appel à témoignages.
Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes accompagnant.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre. Le mercredi 26 février, de 10h à 17h à la Gueule Noire. Organisé par le groupe CNT - Femmes libres.
Ce mois ci au petit resto vegan, ce sont les enfants qui cuisinent.
RDV samedi 21 décembre 2019 à partir de 9h à la Gueule Noire.
Un espace jeux et un espace sieste sont prévus. Zone de gratuité jouets proposée par le Chantiez.
Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes accompagnant.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre.
La CNT Femmes Libres de Sainté organise une soirée en mixité le samedi 7/12. Pour le plaisir d’écouter et de voir des spectacles féministes, et soutenir les Femmes Libres !
Une journée à destination des enfants accompagné.e.s d’adultes référent.e.s : jeux, lectures, cuisine et activités en tout genre. Lancement d’un rendez-vous régulier.
« CNT Femmes Libres » est un outil non-mixte de lutte contre les violences patriarcales sur les lieux de travail, dans les pratiques syndicales, dans l’espace privé ou public.
Le vendredi 13 à partir de 17h30 sur la Place Grenette, venez rencontrer des collectifs locaux qui œuvrent pour l’émancipation, la solidarité et la contre-culture.
Soirée de soutien à la CNT Femmes Libres de Saint-Étienne, avec la présentation du groupe, la projection d’un documentaire et des grignotages à prix libres.
Nos luttes ne nous renvoient pas dos à dos. Complémentaires, elles s’additionnent
En 1936, Mujeres Libres revendique de mettre fin au « triple esclavage des femmes : l’ignorance, le capital et les hommes ». En juillet 1937, avec ses 20000 adhérentes, provenant majoritairement des secteurs populaires, Mujeres Libres défend l’émancipation des femmes et leur participation à la lutte révolutionnaire. L’organisation se réclame d’un « féminisme prolétarien » dans le but de se dissocier du féminisme libéral qui prône l’égalité des femmes sans contester les rapports de domination de classes. Leurs « camarades » n’étaient pas pour autant enclins à les reconnaître politiquement comme une organisation autonome au sein du mouvement libertaire.